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Hubert Faure est né à Saint-Astier le 28 mai 1914. Il a vécu à Neuvic avant de s’engager dans l’armée.

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Dans les chars d’assaut il participe en 1940 à la bataille de Montcornet, commandé par le colonel De Gaulle. Après l’armistice il reste militaire à Ribérac, près de la ligne de démarcation, où il gère les stocks d’armement dans une activité de camouflage pour conserver des armes au-delà de ce que les allemands et Vichy avait conclu. Il confiera dans un témoignage à Patrice Rolli que des mitrailleuses étaient cachées dans la chambre de mines du pont de Saint-Astier. Mais ces armes ne profiteront pas à la Résistance car elles ne seront découvertes qu’après la guerre. Au moment de l’entrée des allemands dans la zone non occupée, Hubert, en danger, part vers l’Angleterre où il sera recruté dans le commando Kieffer. Ils seront les seuls français à débarquer le 6 juin.

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Hubert Faure, l’avant-dernier du commando, est mort à 106 ans le 17 avril 2021